Rise of Kingdoms : le manuel du parfait combattant
Après avoir abordé dans un autre guide tout le pôle économique de Rise of Kingdoms, et comment devenir un bâtisseur hors pair, intéressons-nous désormais à ce qui relève de la gestion militaire. Les quelques premières minutes du jeu, votre cité est protégée par une bulle d’immunité, mais rapidement, celle-ci s’estompera et vous serez livré à votre sort…
Comment monter l’armée parfaite ?
Rappelons-le, dans Rise of Kingdoms, il y a 4 types d’unités offensives : l’infanterie (recrutable grâce à la caserne), la cavalerie (recrutable grâce à l’écurie), l’archèterie (recrutable grâce au champ de tir à l’arc) et les unités de siège (recrutables grâce à l’atelier d’armes de siège). Dans vos débuts, à l’âge de pierre, vous pourrez engager respectivement des guerriers, des cavaliers, des frondeurs, et faire construire des béliers.
Or, si pour faire ses premières armes, c’est largement suffisant, une fois que vous aurez soif de sensations fortes, il vous faudra engager des unités plus expérimentées. À chaque âge, son unité, et dans Rise of Kingdoms, il y en a 5 : l’âge de pierre, l’âge de bronze, l’âge de fer, l’âge sombre et enfin le Moyen Âge. Donc, chaque bâtiment militaire propose d’engager 5 unités différentes, déblocables au fil du temps. Simple, non ? Eh bien, pas tant que ça.
Par exemple, les unités de cavalerie légère sont accessibles dès l’âge de bronze, cependant pour pouvoir les recruter, il faut au préalable effectuer la recherche « Cavalerie légère » dans votre académie et pour effectuer la recherche « Cavalerie légère », il faut avoir débloqué les technologies précédentes… Idem pour les unités d’infanterie, d’archèterie et de siège. Vous devrez obligatoirement passer par la case académie. Il est donc indispensable de fixer vos priorités !
Bien, une fois votre armée composée, vous pouvez vérifier l’état de vos troupes en cliquant sur l’onglet de votre champion puis sur « troupes ». Y est indiqué le nombre total d’unités que vous possédez, la puissance de vos troupes, la file de marche ainsi que la capacité de soin de votre hôpital. Aussi, à tout moment il est possible de jeter un coup d’œil sur la répartition de votre armée : combien d’unités se trouvent dans votre ville et combien sont au front.
Partir à la guerre !
Même s’il est confortable de se prélasser dans votre cité, pour ne pas perdre la main, il faut aller affronter des ennemis. Pour ce faire, cliquez sur la carte. Les ennemis les moins farouches, mais les plus nombreux sont les barbares. Ce sont donc eux qui vous serviront à vous échauffer. Pour en dénicher, deux solutions. Soit parcourir visuellement votre carte pour repérer un groupe prêt à être combattu, soit utiliser l’outil de recherche.
Notez aussi que dans Rise of Kingdoms, il ne faut pas griller les étapes. C’est pourquoi, pour affronter un groupe de barbares de niveau 8, il vous faudra auparavant terrasser un groupe de niveau 7. Et ainsi de suite. Une fois vos cibles localisées, vous pouvez d’un simple coup d’œil voir les récompenses qui vous attendent en cas de victoire. Souvent, il s’agit de ressources (bois, nourriture), de gemmes, de boosts, etc.
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La composition de vos troupes
Si vous trouvez que le jeu en vaut la chandelle, cliquez sur « attaquer » et composez votre armée. Attention à ne pas lésiner sur la quantité de troupes que vous allez envoyer au front. Les barbares sont parfois plus coriaces que vous ne le pensez ! Aussi, jetez un œil sur le message qui s’affiche au-dessus de l’estimation du temps de marche. Cela vous permet d’avoir un aperçu de l’issue de la bataille. Une « mission suicide » vous assure la défaite, « chances minimes » met peu d’espoir dans votre victoire, « chances égales » signifie « que le meilleur gagne », et si c’est « victoire assurée » qui est inscrit, alors sortez le champagne. Il est impossible que vous échouiez.
Vous voulez changer de leader ? Rien de plus facile. Pour sélectionner un autre personnage, il vous suffit de cliquer sur la flèche à gauche de l’écran sur le portrait de votre leader actuel. Notez qu’il est aussi possible de créer une armée prédéfinie pour vos prochains combats. Pour ce faire, cliquez sur l’icône à droite de l’écran et sauvegardez vos préférences. Les premières batailles sont les plus simples, et tant que vous débuterez dans le jeu, vous n’aurez pas à être sur tous les fronts et gérer plusieurs conflits à la fois. Or, Rise of Kingdoms permet aux joueurs de faire des combats simultanés. Donc plus vous progressez, plus vous verrez qu’il est indispensable de créer des armées prédéfinies, et surtout de ne pas envoyer toutes vos unités au même endroit sous peine de le payer bien cher…
Une fois votre troupe lancée, celle-ci se dirigera rapidement vers le lieu de la bataille. À vous de croiser les doigts pour que l’issue soit favorable. Bien évidemment, votre leader sera présent, dirigera votre armée et utilisera ses capacités spéciales pour soutenir ses guerriers.
Si la victoire est vôtre, vous pourrez rentrer tranquillement à votre cité pour soigner les blessés dans votre ou vos hôpitaux, les bras chargés de ressources et de trophées. Vous avez été trop gourmand ? Votre leader sonnera la retraite et vous irez dans votre cité enterrer les morts et panser les plaies des survivants.
S’imposer comme leader
Vous verrez assez rapidement qu’il est répétitif de terrasser des barbares. Or, c’est nécessaire quant à votre carrière en tant que leader. En effet, dans Rise of Kingdoms, aucune cité ennemie ne peut vous attaquer avant le niveau 8. Cela vous donne donc largement le temps de faire prospérer votre économie et de former vos troupes.
Il en est de même pour les combats en alliance. Lors de vos séances d’explorations, vous trouverez certainement des forts de barbares qui promettent tant de belles récompenses en cas de victoire. Niveau 120 000 ? Ah, vous n’êtes qu’à 10 000 ? Eh bien, ne vous affolez pas. Ces forts sont destinés à être défaits en groupe, il faudra donc vous trouver des amis, atteindre le niveau 7 d’hôtel de ville et construire un château. Une fois ces étapes accomplies, les barbares n’auront qu’à bien se tenir !